On ne peut pas modifier le passé ... [ Edward & Autumn ]

J'étais si bien dans mon lit ... Je me tortillais à droite puis gauche ... Les rêves venaient de temps en temps ... Puis je sentis le poids d'une personne sauter sur mon lit. Inconsciente je pris le maximum de couverture et je me les rabattis sur ma pauvre tête encore en train de rêver. Puis la voix grave, et rieuse de mon frère me parvint. Mais oui ! Il n'y avait que lui pour faire des trucs du genre ! Je soupira et j'enleva d'un coup les couvertures. La lumière du jour m'aveugla et je ferma les yeux. Je l'entendais dire des trucs du genre : "- Allez bouge toi !" , "- Sors de ton lit il est tard ! " . Je voulais juste rester dans mon bon vieux lit et dormir en paix. Mais non, c'était trop difficile à demander. Je me releva du mieux que je pouvais. Lui me riait au nez. Soupirant je me leva et je lui mis la tête dans le lit. La cuisine fut plus loin que je ne l'aurais imaginé. Il n'était pas tard. Qu'allais-je faire de ma pauvre journée ? J'interrompis mes pensées lorsque Gautier arriva en imitant les surfers. Je souris. Aujourd'hui j'allais surfer sur la glace ! Je n'y étais pas allez depuis 5 mois. Et dieu sait combien j'adore faire du patin à glace ! Je mangea vite fait et m'habilla aussi vite fait. J'embrassa mon frère qui me fit un clin d'oeil. Il était drôlement fort pour occuper mes journées !

J'avança vers ma mini cooper. J'allais me défouler sur la glace. Rien que d'y penser j'étais heureuse. J'allais sûrement voir des personnes que je connaissais. Il n'y avait pas grande monde dehors. Lorsque l'inscription PATINOIRE me sauta au yeux j'accelera. Je me gara, et alla saluer le nouveau garde qui me donna les tickets. Naturellement j'avais pris mes patins. Je les enfilais, et je resta quelque temps à regarder les autres. Mon coeur battait fort. Comme si j'étais à un concours où je devais être la meilleure. Je sauta du banc avec souplesse et j'atterris sur la piste geler. Je fis d'abord quelque pirouette, puis ... Une personne plutôt âgé me rentra dedans. Lui ne perdit pas l'équilibre, mais moi j'avais perdu mes réflexes, alors je perdis le contrôle et j'avais l'impression que j'allait foncer dans quelqu'un. J'essayais de m'arrêter mais rien à faire. Le bruit des patins firent un bruit aigus m'arrachant les tympans. Et en un rien de temps je me retrouva sur la personne en question. Je me laissa glisser sur le côté de façon à ne pas plus l'écraser et j'aperçus que c'était un jeune homme qui devait avoir mon âge. Je priais pour qu'il ne se soit pas fait mal. Je lui souris. Ne sachant quoi dire. Gêner d'être tombée sur lui.

Mon coeur battait fort. Très fort même. J'avais eu si peur de lui avoir fait mal ! Pire, il aurait pu avoir la tête ouverte avec le choc. M'efforçant de respirer normalement et me calmer j'entrepris alors de m'asseoir. Ce qui fut un echec. Ma tête me paraissait lourde et j'avais le tournis. Bizarre. Ma chute avait pourtant été amortis par le torse de l'adolescent. Je tenta de le regarder. Il avait pourtant l'air de s'amuser lui. Rectification, il se foutait de moi ! Il me posa une question que j'ignora royalement. En guise de réponse je commença à partir dans un fou rire. La scène avait dû être drôle vu par les autres ! Je me voyais en train d'essayer de m'arrêter et tomber sur une pauvre personne. On aurait dit une débutante ! Arrêtant ma crise d'hystérie je lui répondis :

- Non rien de cassé ! Et toi ta tête ?

Il avait plutôt l'air sympa. Je réussi à me percher sur mes deux jambes. Pour une fois que je m'en sortais sans égratignures ! Je balaya la patinoire du regard et je vis près de nous un banc malheureux. Je souris et sans attendre de réponse je lui fis signe de me suivre. Je tourna sur moi-même avant, histoire de voir que je n'avais pas mal et je patina tranquillement vers le banc. Aucune personne n'était venu passer devant moi. Peu-être de peur de se faire écraser par une blonde ! Je me retourna, ma légère robe suivant le mouvement, dévoilant une partie de mes cuisses. Je m'affala sur le banc de fer et j'appuya ma tête contre les rebords de la patinoire. Attendant bien sagement que le garçon vienne me rejoindre. Enfin s'il en avait envie. Après tout, il pouvait repartir et me laisser seule. Mon mal de tête passait, c'était une bonne chose. Je n'aurais pas voulus acheter des médicaments aujourd'hui. J'avais fermé les yeux sans m'en rendre compte. Lorsque j'ouvris mes yeux il n'était plus devant moi, mais à côté de moi. Je pense qu'on s'entendra bien nous deux !

- Enfin réveillée ! He oui ! La belle au bois dormant qui n'a dormis que quelque seconde est déjà réveillée ! Prête a refaire tomber une personne et cette fois en lui explosant la tête. Mais quelle idée j'avais là ! Il avait sûrement raison ; le choc. J'en avais pris un coup. J'étais ... Jalouse ! Lui n'avais rien eu et je ne sais toujours pas comment il a fait, alors que moi qui avait été protégé j'avais mal à la tête. J'oublia cette idée et je me concentra sur ses paroles. Il avait un beau sourire charmeur. Je savais qu'il était un Play Boy. Déjà parce qu'il était beau. Mais aussi il devait avoir de l'argent. Comment je le savais ? Sa façon de s'habiller, puis ses patins. Je me rappelle que je les avais vu dans une boutique spécialisée. Et le rien qu'on puisse dire c'est que la pair étaient assez chères ! Mais très belle cependant. Je fus étonnée qu'il s'y prit assez mal pour poser une question pourtant simple et bannal. A chaque rencontre on doit demander : "Tu t'appelles ?." Parfois c'est un peu énervant. Mais là, j'en éprouver rien. Je voulais savoir comment lui s'appelait. Ce n'était peu-être pas un Play Boy après tout. Bref on sans fiche, c'est plus le caractère qui compte que la " catégorie ". Après lui avoir rendu son sourire en retard je lui répondis :

- Je m'appelle Autumn Lautner. Et j'ai un frère Gautier. Si tu connais ...

J'avais dis exactement la même phrase que je disais à chaque personne nouvelle que je rencontrais. C'était juste un détail. Lui par contre j'avais l'impression de l'avoir déjà vu. Je ne savais plus trop où. Mais c'était peu-être moi qui devenait folle. Non, ça ne se pouvait pas, j'étais déjà folle ! Lorsqu'il m'aura dit son prénom je saurais. Non que j'avais hâte, mais je voulais voir sa tête. Je l'aimais déjà bien celui là ! Peu-être parce qu'il m'a empêché de me retrouver au urgence. Non, en faite je ne sais pas pourquoi, mais je savais qu'il y avait un truc qui n'allait pas entre nous deux. Où peu-être le contraire ; on avait un point en commun. Faire de la patinoire sûrement !?

Edward Hartley ... Edward Hartley ... Edward .. Ed... ! Oui ! Ca y est je me souviens ! Le petit gosse à la plage il y a longtemps. Je me mordis la langue pour ne pas crier. Mon frère m'avait parlé de lui. Voilà pourquoi il me semblait l'avoir vu. Certes il avait changé, même beaucoup. Mais je reconnaissais son sourire. Enfin maintenant. Je me souvenais que mon frère me l'avait fait rencontré, mais très vite fait. J'avais juste remarqué qu'il était beau. Maintenant ça me revenait en tête. D'ailleurs mon frangin m'avait parlé de son passé. Pas énormément mais il m'avait dit qu'il avait eu des douleurs profondes. Et que pour lui faire parler de sa vie d'avant, il allait falloir que j'use de mon " expérience professionnelle" pour qu'il me dise ce qu'il s'était réellement passé. La curiosité est un vilain défaut !

J'arrêtai mes pensées stupides lorsqu'il me proposa de venir patiner. Je n'avais pas vraiment envie de faire du patinage en ce moment, mais vu qu'il recommençait à me sortir ses blagues à deux balles, je leva un sourcil et je me leva. Ma tête était parfaite je n'avais plus mal. Juste au moment où il me demanda si j'étais capable de patiner, mon mal de tête reprit. Je marmonna quelque chose du genre : - Je n'en suis pas si sûr ... En espérant du fonds du coeur qu'il ne m'avait pas entendu. Je le suivis tranquillement. Le mal de tête allait passer. Comment diable je pouvais avoir eu aussi mal ? J'avais toujours été fragile, mais je ne pensais pas autant.

Je fis une pirouette et je retomba avec légèreté. Je soupira. C'était psychologique finalement. Lorsque j'y pensais j'avais mal. Je regarda Edward. Et je pris de la vitesse. J'allais faire ce que j'avais toujours su faire ; Le saut de biche. J'aimais ça. Je pris mon appui et je me laissa emporter dans le vent, je fléchis ma jambe droite et j'allongea ma jambe gauche. Ma robe courte suivant le mouvement toujours aussi provocante. Je retomba avec souplesse. Contente je voulus faire tourner sur moi-même. Mais pour ma tête sans était de trop. Je m'arreta net. Peu-être trop. Je ne me sentais plus moi-même. J'avais la tête qui me faisait affreusement mal et qui me brulait. Je voulais me retrouver dans les bras de mon frère, pleurer tout raconter ce que j'avais vécus.

Ma vue se brouilla, je pleurai. J'allais me faire passer pour la grosse conne de service ! Je vis le dénomé Edward qui arrivait. J'étais dans un délire totale, en une fraction de seconde je crus qu'il était un loup et qu'il allait sauter à ma gorge. Comme dans a forêt l'autre fois. J'entendais mon ami (oui il était !) parler à toute vitesse. Où alors c'était moi qui ne comprenait rien. Alors je ne vis plus rien, et je me laissa tomber. Sûrment par terre, mais vu que je ne sentais aucun choc, je devais avoir était rattraper par mon sauveur. Encore une fois. Il devrait avoir une médaille ! Je lui dis un Merci.mais je n'étais pas franchement sûr qu'il m'eu entendu.

Soit j'étais chaude - ou j'avais l'impression - sois lui était froid. Je frissonna lorsqu'il me passa la main dans mes cheveux. Je me sentais autant en sécurité avec lui qu'avec mon frère. Mon dieu comment en suis-je arrivée là ? Je fermai les yeux et je réfléchissais. Ou plutôt je faisais en sorte que tout ça passe. Tout aussi vite que c'est venue, je me sentie mieux. J'avais maintenant froid, mais c'était supportable.
_____- Non... ce n'est pas la peine d'ouvrir les yeux si tu ne t'en sent pas capable... Si j'allais mieux, mais je n'avais pas encore la force de me lever, enfin de m'asseoir. Je décida, et je pense que c'était la meilleure idée, de me laisser encore quelques minutes de répit. Puis encore des questions ...Pourquoi on lui répondait pas ? Mon dieu ! Qu'il était calme !
_____- Presse ma main encore une fois pour me dire oui et deux fois pour un non. Je mis du temps avant de m'apercevoir que c'était à moi qu'il parlait. J'avais du avoir un sacret choc ! Je me concentra sur comme faire fonctionner les muscles de ma main. Et OH miracle je réussi à presser une fois pour lui dire que j'allais bien. Même assez bien. J'ouvris et cligna des yeux à plusieurs reprises. J'avais oublié que les lumières de la patinoire étaient fortes. Je tourna ma tête vers lui. Il avait de beau yeux ! Je souleva ma main libre et je lui effleura le front pour finir en ligne droite. M'attardant plus longtemps sur sa bouche. J'avais l'impression de l'avoir connu depuis longtemps. Juste par les paroles de mon frère qui m'avait dit qu'il avait eu un passé désastreux. Pire que moi ? Je souria, et je plongea mon regard dans le sien, j'attaquai.

- Mon cher sauveur pause ... , comment puis-je vous remercier ? je me toucha la tête , je pense qu'elle va survivre c'est pas son premier choc ! me sentant apte à m'asseoir je me redressa doucement et je continua. Alors ce saut de biche ? Pas mal non ? je soupira , bon sinon, j'aimerais bien te connaître ! regards triste irresistible , raconte moi tout ! Ta vie doit être plus intéressante que la mienne. je montra ma tête et le soutint de mon regard et de mon sourire dévastateur. S'il te plaît !

Après tout, il jouait sur le charme, alors moi aussi ! Puis j'avais quoi à perdre ? La curiosité alors ... Pourquoi suis-je comme ça ? A toujours tout vouloir savoir ! Mais bon c'est la vie. Et ça ne devait pas être plus pire que moi. J'avais vu quelqu'un mourir devant moi. La grosse égoïste ! Après tout, il avait peux être lui aussi perdu un être cher ...

Le prénomé Edward s'approcha de moi fort dangereusement de mon visage. J'adorais les sports extrêmes, non sport ne collait pas. Plutôt sensation ! Je pense que j'avais eu comme un choc, une décharge. Vous savez lorsque vous êtes sur un lit d'hôpital vous êtes à deux doigts de mourir. Et là BAF ! Votre coeur s'emballe, vous avez de plus en plus mal et on trouve le meilleure moyen c'est de vous mettre une sorte de machine qui vous envoya je ne sais combien de volt dans votre pauvre petit corps déjà faible. Les personnes des hôpitaux se moquaient-ils du monde ? Non, ils faisaient leurs boulot. Même si parfois, on y restez ...

L'heure n'était pas au drame, enfin pas encore. Lorsqu'il me répondit " Une autre fois peut-être… " c'était comme la dernière des décharges qu'on m'envoyait. J'allais si mal que ça ? Le regardant je compta dans ma tête le nombre de fois que j'étais tombée ; 2 fois. Et comme ont dit : j'aimais deux sans trois. Je commença à me préparer mentalement, mais il m'attrapa la main et m'envoya encore et une fois danser sur glace. J'en faisais si bien que ça ? Ah la vie toujours en train de se poser des questions ! (genre j'adore comment j'parle xD)

J'eu franchement l'air bête lorsqu'il me prit par les mains et qu'il essaya de me faire patiner. Enfin traîner serrait le terme exact. Je me laissa emporter, je ferma les yeux quelques instants. Seul le : Ça va tu te sent bien ? brisa mon nouveau petit bonheur. J'ouvris les yeux, ouvris la bouche et pourr finir j'hocha la tête, après tout il voulait rien me dire, alors je ne lui dirais rien non plus. Mais je fus prise de pitée lorsqu'il inclina sa tête. Tellement mignon ... Je laissa échapper un soupir. Mais toujours rien ne sortit de ma pauvre bouche. Et comme s'il avait lu dans mes pensées il prit de la vitesse. C'est fous ! Il devrait être un médicament se mec ! Lorsque je suis avec lui ça va beaucoup mieux ! Mental j'vous dis ! Daignera-tu me répondre ou pas encore ? Je continua de patiner, cherchant des mots.

- Laisse moi réfléchir ! Non je ne suis pas vexée.pause ... Tu as du avoir un lourd passé, si tu ne veux rien me dire. Enfin, passons, je sais que je n'en saurais rien sur le belle Edward Hartley qui m'a empêcher d'aller au Urgence

Je fus étonné lorsqu'il me dit un truc du genre : tu as bien deviné ... Bien sûr que j'avais deviné ! Il ne comprenait pas les femmes ou quoi ? Elles et leurs instincts maternelle. Elles savent tout ! Moi en l'occurrence j'avais vu comment il était mal à l'aise lorsque je prononçais le mot : passé. La première fois j'avais pu voir qu'il ne me fixait plus, mais qu'il regardait un peux partout. Il bougeait ses doigts comme s'il faisait du piano, et j'en passe. Les femmes étaient fortes ! Les femmes étaient les meilleures ! J'étais en train de faire quoi là ? Du sexisme comme on dit ? Non, bien sûr que non ! C'est pas mon genre !

En effet, je lui devais bien ça. De plus je ne voulais pas continuer à parler de passé. Car il y a une chance sur deux pour qu'il me repose la question. Genre je vais lui dire que j'ai vu une de mes copines se faire dévorer par un loups. Génial ! Il me dira encore une fois " - Ta tête te fait pas mal ? Nan sans blague, tu m'as l'air folle" Oui c'est ça ! Je suis FOLLE ! Et je ne pus que sourire encore une fois. J'aimais pas mal le genre qu'on faisait. Je le draguais, mais lui ne savait pas vraiment comment faire. Alors la question. Celle que j'aurais du me poser avant de commencer mon petit jeu : Sortait-il avec une fille ?

Ma mère, comme mon frère d'ailleurs mon toujours dit que j'étais douée pour plein de chose. Mais surtout un truc. Lorsque quelqu'un regardait quelque part je pouvais dire exactement où il posait ses yeux. Alors là, j'eu le souffle coupé. Sans aucun doute, c'était un Play Boy ! Enfin, il faut dire qu'avec ma robe limite trop courte, je donnais des airs de grande Barbie. J'ai toujours aimé cette robe. C'est Gautier - mon frère - qui me l'avait offerte il y a de là 7 mois environ. Il a toujours eu des goûts provocateur. Bref' revenons à Edward. J'en étais comblée qu'on me regarde ainsi. Même si c'était pas la première fois.

Il dit une phrase pas très compréhensible, mais bon, je l'a compris en partie. Alors je décida de dire que moi aussi j'avais eu un drôle de passé. Après tout il m'avait sauvé des Urgences !

- Rien, je veux continuer de patiner avec toi ! C'est marrant ! et un sourire gratuit. Moi aussi j'ai eu un passé pas drôle. J'en rêve encore. C'est affreux. et là je ne suis quoi dire, et je n'osa pas le regarder. Mais j'enchaînai et cette fois je le regarda, dit moi, tu as une copine ?

Je le laisser songer dans son coin. Moi pendant se temps je patinais bien tranquillement. C'était drôle comment tout avez changé. Comment j'avais connus le beau Edward. Comment j'avais faillis manquer de me rétamer par terre et m'explosant la tête contre la parois fraîche de la patinoire. Je voulais rire à cette fichu pensé. Edward était quelqu'un de très gentil et attentionné. Pas comme tout les autres mecs. D'ailleurs il devait avoir une copine. Enfin, il avait du en avoir de nombreuses. Comment ne pas résister à un pareille charme ?

Pendant se temps je patinais toujours devant lui tenant toujours ces mains douce, au passage. Puis sans prévenir il me tira vers lui de façon à se que je sois dos contre son torse. Je fus étonnée. Et la première réponse que je devina était ; Non il ne sort avec personne. Sinon il n'aurait pas oser faire ça. Enfin s'il avait était un mec bien envers sa copine. Puis il me chuchota - Tu es une grande curieuse… Ah ça pour être curieuse ! Je l'etais ! Une vrai concierge. Il me fit repasser devant lui avec toujours une bonne souplesse. Je ne releva pas son regard séduisant qu'il me lança. - Et non je n’en ai pas… et toi ? Demandais-je sur le même ton.

Je fus surprise. Pas par la question mais pour l'ensemble de se qui venait de se passer. Mais elle s'évapora extrêmement vite, et je joua à son jeu. Je lui lança un regard. Et je me rapprocha de lui. J'étais à sa gauche. Je lacha ses mains, et j'entoura mes bras autour de son torse. Je continua à patiner quelque seconde. Et je ne sais comment sans me prendre dans ses pieds, et je lui chuchota :

- Non ? Comment un si jolie garçon comme toi ne sort pas avec une fille ? Pour ma part, non l'amour ne vient toujours pas. Quoique ...

Je lui fis un clin d'oeil et je desserras mon emprise autour de lui. Je jouais au meilleure jeu que je n'avais jamais joué !

Sa prochaine réponse fu très rapide. Il devait aimer lui aussi notre petit jeu !

- Eh bien comme tu le vois c’est possible… Peut être que moi aussi je n’ai pas trouvé la bonne personne… Dis-il en tournant autour de moi avec un regard séducteur

Je souris, puis il me tendis sa main. Je l'attrapa avec douceur sans hésitation. Il me tira aussitôt vers lui me faisant tournoyer dans tout les sens. Lorsque j'eu finis ma dernière tournade il m'amena à lui. C'est alors que je pus mieux le décrire. De loin il paraissait beau, mais de près ! Il était encore plus mignon ! Je posa mon regard malicieux sur ses magnifiques yeux. Il avait l'air heureux.

Ses yeux pétilliaient. Et il devenait le genre de mec qu'on ne voit que dans les films. Beau, séducteur, riches, etc. Je me laissa aller avec lui. Bizarrement j'étais plus que bien dans ses bras ! Je n'eu pas peur lorsqu'il traca des courbes avec son doigt, sur mon visage. Il était le parfait gentleman ! Et comment il n'avait pas eu de copine ? Il était tellement occupé à parcourir mon visage que son expression changea. Je pus voir un instant la peur dans ses yeux. Alors lui aussi avait eu un passé désatreux ...

- Oups ! Désolé…me dit-il en se reculant... Je ne pris pas longtemps pour lui répondre;

-Oh, il n'y a pas de mal ! Je te trouve très mystérieux ! Tu caches bien ton jeu toi ! Le tout avec un jolie sourire.